Produire de l’énergie verte tout en protégeant ses cultures ? Oui, c’est possible. L’ombrière photovoltaïque agricole, c’est un peu le combo gagnant pour les agriculteurs qui veulent diversifier leurs revenus sans sacrifier leur exploitation. Ce guide complet va vous permettre d’y voir clair, étape par étape.
Ce qu’il faut retenir
- Une ombrière photovoltaïque combine production solaire et activité agricole
- Elle protège vos cultures ou animaux des aléas climatiques tout en produisant de l’électricité verte
- C’est une opportunité pour générer des revenus passifs et sécuriser votre exploitation
- Plusieurs types de cultures et d’élevages sont compatibles avec cette solution
- Le coût dépend de nombreux critères, mais des financements existent
- La mise en place suit un processus clair : étude, autorisations, installation, raccordement
- La durée de vie dépasse souvent 25 ans avec peu de maintenance
- Un bon accompagnement fait toute la différence pour maximiser la rentabilité
Qu’est-ce qu’une ombrière photovoltaïque agricole ?
Imaginez une structure qui protège vos cultures ou vos animaux… tout en générant de l’électricité. C’est exactement ce que fait une ombrière photovoltaïque. Placée en hauteur, elle laisse circuler l’air, passer la lumière (en partie), tout en captant l’énergie du soleil pour produire du courant électrique. C’est du solaire, mais malin. Et surtout, parfaitement compatible avec une activité agricole.
Quelle différence entre une ombrière et une centrale au sol ?
Une centrale au sol, c’est simple : des panneaux posés directement sur le terrain, qui immobilisent la parcelle. Autrement dit, adieu les cultures ou l’élevage à cet endroit.
L’ombrière, elle, joue dans une autre cour. Elle surélève les panneaux pour maintenir l’usage agricole du sol. Résultat : vous continuez votre activité et vous profitez de la production photovoltaïque. Pas de perte d’usage, mais un vrai gain.
Pourquoi parle-t-on d’agri-énergie ou d’agrovoltaïsme ?
Parce que ce modèle de production d’électricité s’inscrit dans une logique d’optimisation des terres agricoles. On parle aussi d’agrivoltaïsme quand l’installation est pensée pour améliorer les conditions de culture : gestion de l’ombrage, réduction de la chaleur, limitation du stress hydrique… Bref, c’est un partenariat gagnant entre le solaire et l’agriculture. Une approche durable, rentable et intelligente.
Comment fonctionne une ombrière photovoltaïque agricole ?
Pas besoin d’être ingénieur EDF pour comprendre son fonctionnement. Une ombrière photovoltaïque agricole, c’est une structure surélevée qui accueille des panneaux solaires et permet de produire de l’électricité avec l’énergie solaire tout en protégeant ce qu’il y a en dessous : cultures, animaux, matériel agricole…
De quoi se compose une ombrière photovoltaïque ?
Voici les éléments principaux :
- Structure métallique sur pieux ancrés dans le sol, souvent modulable en hauteur selon les besoins (tracteurs, bovins, vergers…).
- Panneaux photovoltaïques (en silicium, bifaciaux, semi-transparents, selon le type de culture à préserver).
- Onduleurs, qui transforment le courant continu en courant alternatif.
- Système de raccordement au réseau électrique ou vers un dispositif d’autoconsommation.
- Parfois, des systèmes de pilotage automatique de l’inclinaison ou de l’ombrage.
Et quand il fait nuit, gris ou froid ?
Pas de panique : les panneaux continuent à produire de l’électricité même par temps couvert. Certes, le rendement baisse, mais la technologie actuelle reste efficace dans la majorité des régions françaises. Quant à la nuit, la production s’arrête (logique), mais elle peut être compensée par le stockage ou la revente du surplus produit en journée.
Quel impact sur les cultures et le sol ?
C’est là toute la force du modèle : l’ombrière photovoltaïque ne remplace pas votre exploitation, elle la renforce. Elle :
- Réduit le stress hydrique en limitant l’évaporation de l’eau
- Protège des coups de chaud, des grêlons, des pluies violentes
- Maintient une biodiversité plus stable sous certaines conditions
- Peut améliorer la productivité de certaines cultures sensibles à la chaleur
Bref, un bon équilibre entre énergie et agriculture. À condition que le projet soit bien pensé.
Quelles sont les opportunités offertes par une ombrière photovoltaïque ?
Si vous avez de l’espace sous-exploité, une ombrière solaire peut devenir un véritable levier de croissance. Et pas seulement pour faire joli sur un rapport RSE. On parle ici de rentabilité, résilience, et diversification.
Générer des revenus complémentaires pour l’exploitation
Les panneaux installés sur une ombrière produisent de l’électricité solaire qui peut être :
- Revendue à EDF ou à un fournisseur, via un contrat d’achat
- Autoconsommée pour alimenter vos propres besoins (irrigation, bâtiments…)
- Stockée, selon le système en place
Dans tous les cas, c’est une source de revenu stable, souvent indexée sur la production, avec des contrats à long terme. Une belle façon de sécuriser vos marges.
Réduire sa facture énergétique avec l’autoconsommation
Vous en avez marre des factures qui explosent ? Installer une ombrière, c’est :
- Stabiliser vos coûts d’énergie
- Gagner en autonomie
- Réduire votre dépendance au réseau
Avec une bonne étude de besoin, vous pouvez couvrir jusqu’à 80 % de votre consommation. Et ça, c’est tout sauf négligeable.
Répondre aux obligations et démarches RSE
De plus en plus de collectivités et d’exploitations agricoles sont soumises à des obligations environnementales : neutralité carbone, plans climat, protection de la biodiversité, électricité renouvelable… L’ombrière devient alors un outil stratégique pour :
- Remplir vos engagements
- Obtenir des financements ou des subventions
- Valoriser votre démarche auprès des parties prenantes (élus, clients, citoyens…)
Valoriser des terrains peu ou non cultivés
Vous avez un terrain inutilisé, en friche, en bord de route, inondable ou trop caillouteux pour être productif ? Ce n’est pas une perte, c’est une opportunité. Ces espaces peuvent :
- Accueillir des structures solaires sans gêner l’exploitation
- Générer des revenus passifs via un bail emphytéotique
- Servir de base à un partenariat avec un développeur photovoltaïque
Quels sont les avantages des ombrières photovoltaïques ?
On ne va pas tourner autour du pot : les ombrières agricoles cumulent les bénéfices. Ce n’est pas juste une installation technique, c’est un levier stratégique pour votre activité.
Protection des cultures contre les aléas climatiques
Grêle, canicule, pluie torrentielle… Les aléas climatiques se multiplient. Et ils ne font pas de cadeau aux cultures.
L’ombrière agit comme un abri naturel, réduisant l’exposition directe au soleil, protégeant des coups de chaud et limitant les dégâts en cas de grêle ou d’averses.
Maintien de la production agricole sur les parcelles équipées
Contrairement à une centrale au sol, vous ne sacrifiez pas vos terres. Vous continuez à exploiter vos parcelles : maraîchage, pâturage, culture spécifique…
Et ça, c’est un avantage concurrentiel majeur : pas besoin de choisir entre produire de la nourriture ou de l’électricité. Vous faites les deux.
Atout d’image pour l’exploitation
Installer une ombrière photovoltaïque, c’est aussi envoyer un message fort :
- À vos clients : vous innovez et vous respectez l’environnement
- À vos partenaires : vous anticipez les changements du secteur
- À vos collègues : vous montrez l’exemple
Et en période de tension sur les questions agricoles, valoriser son image, ce n’est pas du luxe.
Contribution à la transition énergétique locale
Chaque kWh produit en local, c’est :
- Moins de dépendance aux énergies fossiles
- Moins d’émissions de CO2
- Plus de résilience pour votre exploitation et votre territoire
Bref, vous devenez acteur de la solution, pas spectateur du problème.
Quels types de cultures peuvent bénéficier d’une ombrière solaire ?
Toutes les cultures ne réagissent pas de la même façon à l’ombre partielle. Mais certaines en tirent clairement profit, surtout dans un contexte de changement climatique.
Cultures maraîchères et légumes feuilles
Salades, épinards, blettes, choux… Ces cultures craignent la chaleur excessive et la déshydratation rapide. L’ombrage partiel régule la température, réduit l’évaporation de l’eau et stabilise les rendements.
Cultures sensibles à la chaleur ou à la grêle
Tomates, fraises, courgettes, piments… Elles apprécient le soleil, mais pas en excès. Une ombrière bien conçue permet de :
- Limiter les brûlures sur les fruits
- Réduire les pertes liées aux grêlons
- Maintenir une qualité commerciale constante
Pâturages et élevage extensif
Installer une ombrière dans une prairie, c’est offrir un abri naturel aux bovins, ovins, ou caprins. En période de forte chaleur, c’est un confort précieux, et en bonus, vous réduisez :
- Le stress thermique des animaux
- Les pertes de poids estivales
- Les risques liés aux coups de chaleur
Cas particuliers : vergers, viticulture, serres…
- Vergers et vignes peuvent bénéficier d’un ombrage contrôlé, en particulier dans les zones très ensoleillées. Il faudra adapter l’orientation et la hauteur des structures.
- Serres photovoltaïques ? C’est un autre modèle, mais complémentaire. On y intègre directement les panneaux dans la toiture de la serre.
En résumé : pas besoin de tout changer. Il suffit d’adapter l’installation à vos cultures existantes. Et pour ça, une étude technique sérieuse est indispensable.
Quel est le prix d’une ombrière photovoltaïque agricole ?
C’est LA question que tout le monde se pose… et à juste titre. Une ombrière photovoltaïque, c’est un investissement. Mais comme pour tout projet rentable, ce qui compte, c’est le retour sur investissement, pas juste le ticket d’entrée.
Coût moyen au m² ou par MW installé
Le prix varie fortement selon le projet, mais voici quelques repères :
- Entre 800 et 1 500 € par kWc installé en moyenne
- Pour une ombrière de 100 kWc, comptez un prix moyen entre 80 000 et 150 000 €
- Cela peut être beaucoup plus si la structure est complexe, en zone isolée, ou avec un raccordement long
Ces montants peuvent faire peur, mais ils ne reflètent pas toujours ce que vous allez réellement payer.
Ce qui influence le prix
Le coût dépend de plusieurs facteurs :
- Surface couverte et puissance installée
- Type de structure (hauteur, matériaux, pieux)
- Raccordement au réseau (distance, travaux)
- Nature du sol (pente, stabilité)
- Systèmes de pilotage, de suivi ou d’autoconsommation
- Coûts annexes : études techniques, assurances, procédures administratives
Bref, chaque projet est unique. Et ça mérite une étude personnalisée, pas un devis générique sur un coin de table.
Attention aux coûts cachés
Certains oublient de budgétiser :
- La maintenance préventive (nettoyage, vérifications, pièces)
- Les coûts de mise en conformité (urbanisme, ERP…)
- Les frais liés à un retard de raccordement
- Le manque à gagner temporaire pendant les travaux (ex. : accès parking réduit)
Anticiper ces postes, c’est éviter les mauvaises surprises.
Quelles sont les aides et subventions disponibles ?
Bonne nouvelle : vous n’êtes pas seul face au coût d’un tel projet. Il existe plusieurs leviers de financement pour rendre votre ombrière photovoltaïque plus accessible, voire quasi gratuite dans certains cas.
Les aides de l’État et les dispositifs CEE
Le dispositif des certificats d’économies d’énergie (CEE) permet d’obtenir des primes pour certains travaux d’efficacité énergétique, et il peut s’appliquer en partie aux installations photovoltaïques couplées à des économies d’énergie ou à l’autoconsommation.
De plus, selon les périodes, l’État peut lancer :
- Des appels d’offres solaires (pour les installations de plus de 100 kWc)
- Des tarifs d’achat bonifiés garantis sur 20 ans
- Des aides fiscales (exonérations, TVA réduite…)
Un dossier bien monté = un vrai coup de pouce financier.
Les financements régionaux et européens
Certaines régions, départements ou intercommunalités disposent de leurs propres aides à la transition énergétique. Et si vous êtes dans une zone rurale ou en zone LEADER, vous pouvez également bénéficier de fonds européens (FEADER).
Pensez à contacter :
- La chambre d’agriculture
- L’ADEME locale
- Votre région ou votre DDT
Ils sauront vous orienter vers les bons dispositifs, selon la nature de votre exploitation ou de votre activité.
Le tiers-investissement : ne rien payer, et profiter quand même
Vous préférez ne pas sortir un euro de votre poche ? C’est possible. Avec un modèle de tiers-investissement, un partenaire (souvent un développeur ou une entreprise spécialisée) finance intégralement le projet, prend en charge la construction, et :
- Vous verse un loyer pour l’occupation du terrain
- Ou vous fait bénéficier gratuitement d’une partie de l’électricité produite
- Ou les deux
Avantage : vous gardez l’usage de vos terres et vous dégagez un revenu ou une économie, sans supporter la charge financière initiale.
Comment installer une ombrière photovoltaïque agricole ?
Installer une ombrière photovoltaïque, ce n’est pas juste “poser des panneaux et brancher une prise”. C’est un vrai projet d’aménagement, qui demande de la méthode, des partenaires solides, et un bon pilotage.
Quelles sont les étapes clés du projet ?
Voici le parcours type, de l’idée à la mise en service :
- Étude de faisabilité : orientation du terrain, ensoleillement, accès, contraintes agricoles
- Simulation technico-économique : surface disponible, puissance installée, ROI estimé
- Dépôt des demandes administratives : permis de construire, déclaration préalable, étude environnementale si besoin
- Recherche de financement ou de partenaire : banque, tiers-investisseur, développeur
- Signature des contrats : bail, contrat d’achat d’électricité, convention de raccordement
- Travaux de construction : fondations, pieux, structure, installation des panneaux
- Raccordement au réseau électrique : souvent le plus long, attention aux délais !
- Mise en service et suivi de production
Comptez 12 à 24 mois selon les cas.
Faut-il un permis de construire ou une autorisation ?
Oui. Les ombrières agricoles étant des structures fixes surélevées, elles nécessitent :
- Une autorisation d’urbanisme (permis ou déclaration selon la taille)
- Parfois une étude d’impact environnemental
- Et un avis de la préfecture ou de la DREAL pour certains projets
Les démarches peuvent paraître lourdes… sauf si vous êtes bien accompagné.
Quelle surface minimale est requise ?
On considère généralement qu’il faut au moins 2 000 m² pour rendre le projet rentable.
Mais attention : ce n’est pas qu’une question de taille. Il faut aussi :
- Une bonne orientation (sud ou est/ouest)
- Peu d’ombres portées (bâtiments, arbres)
- Un sol accessible, relativement plat ou régulier
Un terrain plus petit peut aussi convenir si vous visez l’autoconsommation partielle.
Avec qui monter le projet ?
Vous avez plusieurs options :
- Un développeur solaire qui gère tout de A à Z (financement, installation, exploitation)
- Un installateur local qui vous accompagne sur la partie technique
- Un groupement agricole ou une coopérative qui mutualise les projets
- Ou encore votre conseiller bancaire ou ENR, pour monter un financement sur-mesure
Le bon réflexe : choisissez un interlocuteur unique, transparent, réactif, avec de vraies références en milieu agricole.
Quelle est la durée de vie d’une ombrière photovoltaïque ?
Une question de bon sens, surtout quand on s’engage pour 20 à 30 ans. Bonne nouvelle : une ombrière bien conçue, bien entretenue, ça dure longtemps. Et ça continue de produire même après sa “durée officielle”.
Longévité des panneaux, de la structure et des équipements
- Panneaux photovoltaïques : en moyenne, 25 à 30 ans de production. Passé ce cap, leur rendement baisse doucement, mais ils ne s’arrêtent pas de fonctionner.
- Structure métallique : acier galvanisé ou aluminium, conçue pour résister aux intempéries (vent, pluie, neige…). Durée de vie souvent supérieure à 30 ans.
- Onduleurs : à changer tous les 10 à 15 ans selon le modèle.
- Câblage et équipements électriques : nécessitent une vérification régulière, mais peu de remplacement si bien installés.
Bref, pas besoin de tout démonter au bout de 20 ans. Avec une maintenance légère, l’installation reste productive bien au-delà.
Maintenance préventive et coûts associés
On parle ici de :
- Nettoyage des panneaux (1 à 2 fois par an selon la région)
- Vérification des connexions électriques
- Contrôle de l’intégrité des structures et fixations
- Monitoring de la production (via une appli ou un tableau de bord en ligne)
Coût estimé : 10 à 20 € par kWc/an, selon le contrat de maintenance.
Garanties et durabilité réelle dans le temps
Les bons fournisseurs proposent :
- Garantie de production : 80 % minimum au bout de 25 ans
- Garantie matérielle sur les panneaux : souvent 20 à 25 ans
- Garantie structurelle : entre 10 et 20 ans selon les fabricants
À condition de choisir un matériel de qualité (pas du low cost chinois, hein), vous partez pour plusieurs décennies de production solaire fiable.
Quels sont les pièges à éviter avant de se lancer ?
Un projet d’ombrière photovoltaïque agricole, ça peut rapporter gros… ou tourner au fiasco si on ne fait pas attention. Voici les erreurs les plus courantes à éviter absolument.
Les idées reçues sur les ombrières agricoles
- « Ça marche que dans le sud » → Faux. Les technologies actuelles fonctionnent très bien même dans des régions moins ensoleillées.
- « C’est mauvais pour les cultures » → Faux. Si le projet est bien conçu, l’ombrage partiel peut même améliorer le rendement.
- « C’est trop cher » → Faux. Entre aides, financements et tiers-investissement, vous pouvez vous lancer avec zéro euro d’apport.
Bref, ne laissez pas des croyances limitantes vous priver d’une vraie opportunité.
Les erreurs fréquentes dans les contrats
Certains exploitants se retrouvent piégés par :
- Des baux mal rédigés qui les bloquent pour des décennies
- Des conditions de sortie floues ou pénalisantes
- Des redevances faibles alors que les développeurs exploitent le plein potentiel
Avant de signer, faites-vous accompagner par un expert ou un avocat spécialisé. Un contrat mal négocié, c’est un revenu amputé pour des années.
Bien choisir son partenaire pour un projet rentable et durable
Ne vous laissez pas séduire uniquement par le beau discours ou la promesse de “zéro investissement”.
Posez les bonnes questions :
- Quel est leur nombre de projets réalisés dans le secteur agricole ?
- Ont-ils des références concrètes similaires à la vôtre ?
- Quelle est leur solidité financière ?
- Proposent-ils un interlocuteur unique tout au long du projet ?
Et surtout, exigez de la transparence sur les chiffres : production estimée, TRI, coût réel, contraintes techniques…
Un bon partenaire ne vend pas du rêve, il vend des résultats.
Conclusion : pourquoi passer à l’action dès aujourd’hui ?
L’ombrière photovoltaïque agricole, ce n’est pas un gadget pour agriculteurs “écolos”. C’est une vraie solution de diversification intelligente : rentable, utile, et durable.
Vous avez de la place ? Des cultures sensibles au climat ? Une facture d’électricité qui flambe ? Alors c’est le moment ou jamais de transformer ces contraintes en opportunité.
Et si vous ne savez pas par où commencer, entourez-vous d’experts capables de traduire votre vision en projet concret, sans perdre de temps ni d’argent. Parce qu’aujourd’hui, le soleil peut faire plus que bronzer vos salades : il peut faire grandir votre exploitation.